…  offrant les conditions nécessaires au respect des dimensions agroenvironnementales dans une économie plurielle

La biodiversité économique prend en considération une diversité d’acteurs et de logiques économiques et cherche l’équilibre entre les diverses tendances, de l’économie de marché jusqu’à l’économie sociale et solidaire. Reposant sur la démocratisation de l’économie, elle mise sur le sens de la responsabilité citoyenne et s’inscrit dans une dynamique d’économie circulaire, c’est-à-dire une économie dont chaque geste favorise la régénérescence du patrimoine, quel qu’il soit.

L’économie sociale et solidaire génère des activités que le marché et l’économie conventionnelle ne peuvent engendrer. Elle rend le territoire « intelligent » en établissant un rapport équilibré entre le local et le national. En s’appuyant sur le désir de participation des individus, elle permet le volontarisme local dans un ensemble global.

André D. Beaudoin, secrétaire général d’UPA DI

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